(Dans le T.G.V de retour à Brest, il est 19’50h)
« Je dois accueillir tout ce qui arrive à moi, sans rien me refuser. Etre enfermée dans une forme n’aide pas au voyage. Et une première sensation n’est que le souffle du départ pour se mettre en écriture. Laisser fleurir le champs des images, comme un champ en jachère où un jour il y a un coquelicot et on croit que c’est LUI le plus beau puis un autre jour un autre et ainsi… Laisse les autres, l’inattendu faire trace et écris en toi »